Wilderness & environmental medicine
Vol. 26 – N°4
L’acclimatation à la haute altitude est elle améliorée par la « lumière bleue » ?
Ginés Viscor, et al. Santiago du Chili. gviscor@ub.edu
Les auteurs ont conduit une étude auprès de 57 volontaires placés en caisson hypobare pour simuler une exposition à 4 000 mètres. Cette exposition se faisait soit aux heures de nuit (22h-2h30), soit aux heures de jour (9h-13h30).
Aucun bénéfice en terme de réduction des signes liés à la haute altitude n’a été noté dans le sous-groupe exposé à la « lumière bleue ».
NDLR : Encore une légende qui disparaît !
Décontamination des instruments chirurgicaux en situation d’exception.
Cord W. Cunningham. Texas. cord.w.cunningham.mil@mail.mil
Les auteurs ont mis au point un protocole consistant à frotter les instruments à la chlorexidine, ce qui permet de détruire 99.9% des germes, puis les exposent à un rayonnement UV dans un sac plastique scellé par un dispositif banal.
Epinéphrine auto-injectable et refroidissement et réchauffement successifs des ampoules.
Heather Beasley, et al. Salt Lake City. heather.beasley@hsc.utah.edu
Des dispositifs EpiPen ont été exposés 7 fois à des phases de 12 heures de refroidissement et réchauffement. Alors qu’il est recommandé d’éviter ces écarts de températures, aucun dispositif n’a été dégradé en ce qui concerne la concentration d’épinéphrine.